01/08/2022
La mobilité aujourd’hui au cœur des enjeux de la transition écologique.
Les métropoles sont nombreuses à avoir adopté des journées sans voiture pour inciter les usagers à rendre leur mobilité plus vertueuse. Dans ce contexte, la voiture électrique est la solution avancée par le gouvernement pour des déplacements moins polluants.
Pourtant, les constructeurs ont redoublé d’efforts pour réduire cet aspect qui rebute le plus les consommateurs.En moyenne, l’autonomie est passée de 211 kilomètres en 2015 à 338 kilomètres en 2020. Certains modèles haut de gamme explosent ces moyennes, en proposant une autonomie confortable. La Tesla Model S atteint aujourd’hui une autonomie de 663 kilomètres et n’a pas à rougir face aux modèles thermiques.
Le second enjeu pour le développement des véhicules électriques concerne les bornes de recharge. Bien qu’en fort développement sur le territoire, le maillage des points de recharge risque de devenir rapidement trop faible pour le nombre de véhicules en circulation. Il n’est d’ailleurs pas rare de devoir faire la queue sur une aire d’autoroute avant d’accéder à une borne de chargement !
Depuis l’acquisition de leur véhicule électrique, 82 % des propriétaires déclarent d’ailleurs avoir adapté leur quotidien :
État des lieux de la mobilité verte et des perspectives apportées par les véhicules électriques.
La mobilité verte est en marche pour réduire l’impact environnemental et économique du secteur automobile. La voiture électrique gomme peu à peu ses inconvénients pour devenir la référence de la mobilité durable.
C’est une politique d’aménagement des espaces et du territoire qui favorise les moyens de mobilité. L’enjeu est ainsi de concilier une mobilité pratique pour l’usager tout en étant moins polluante et respectueuse de l’environnement.
Pour y parvenir, la mobilité verte s’applique à l’urbanisme, aux infrastructures du réseau de transport, aux véhicules personnels, aux nouvelles technologies ainsi qu’à la sensibilisation des usagers. En d’autres termes, il s’agit d’optimiser les moyens de transport et les déplacements afin de préserver l’environnement.
La mobilité pèse lourd dans notre bilan carbone. En constante hausse, le transport routier représente aujourd’hui 90 % des trajets. Alors que sur les 10 dernières années, les autres secteurs d’activité ont stabilisé ou réduit leur impact sur l’environnement, les émissions de GES du transport ont, quant à elles, augmenté de 10%.
Pour les usagers, la mobilité a un fort impact sur leur pouvoir d’achat puisqu’elle représente 14 % du budget annuel des ménages. La mobilité verte a pour ambition de réduire l’impact écologique et économique du secteur.
Au cœur des préoccupations concernant la mobilité, l’autonomie des véhicules électriques constitue un véritable frein pour les acheteurs potentiels.
Pourtant, les constructeurs ont redoublé d’efforts pour réduire cet aspect qui rebute le plus les consommateurs. En moyenne, l’autonomie est passée de 211 kilomètres en 2015 à 338 kilomètres en 2020. Certains modèles haut de gamme explosent ces moyennes, en proposant une autonomie confortable. La Tesla Model S atteint aujourd’hui une autonomie de 663 kilomètres et n’a pas à rougir face aux modèles thermiques.
Les prochaines étapes dans le développement des véhicules électriques ?
Certains constructeurs travaillent actuellement sur la standardisation des châssis des véhicules électriques. Ces modernisations permettront de répondre à certains enjeux autour de la mobilité :
Les innovations à venir pour les véhicules électriques ?
D’autres acteurs travaillent sur des technologies permettant de répondre aux enjeux de l’électrique et de la mobilité :
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